En nu, le travail sur la lumière est essentiel. Et là, le flash de studio offre un vrai confort de travail ; et si vous maîtrisez l’emploi d’un flashmètre, il est finalement beaucoup plus facile de gérer la lumière artificielle que vous pouvez doser à volonté que de dompter un éclairage naturel. Là, encore ne soyez pas effrayé par les équipements pros : une seule source lumineuse avec une bonne boîte à lumière vous permettra d’obtenir très facilement des rendus très qualitatifs, notamment en n & b. Dans tous les cas, pour le nu, oubliez les flashes de reportage, et bien sûr, les flashes intégrés! Les kits portables d’éclairage sont sans doute rachat n° 1 à considérer si vous voulez faire du nu régulièrement. Toutefois, si votre style vous fait préférer les lumières naturelles, pas de souci ! Il vous faudra juste repérer les lieux à l’avance et savoir, par exemple, à quel moment le soleil pénètre dans la chambre que vous avez retenue. C’est en fonction de la météo que vous devez fixer les séances de prise de vue. Attention, le soleil est à la fois une aubaine et un piège. Une aubaine parce qu’il crée des reflets, du relief, des ombres graphiques intéressantes à exploiter. Un piège parce qu’il accuse les défauts du corps, fait ressortir les rides, fait cligner des yeux et complique le travail d’exposition \ Sans 1 compter que la peau devient vite rouge … Au soleil, le modèle est rarement à l’aise et il faut faire vite. Pensez aussi à placer un réflecteur 1 (ou une grande plaque de polystyrène) à portée de « main pour déboucher une ombre disgracieuse.